« Il ne faut pas être dans le vent… Il faut être le vent. »

J’ai lu cette phrase dans le livre “Votre temps est infini” de Fabien Olicard.

Cette phrase peut trouver écho dans notre vie personnelle ou professionnelle.

J’ai choisi de l’interpréter comme une invitation à suivre son intuition pour mettre les voiles vers de nouvelles trajectoires personnelles et/ou professionnelles.

Sommaire

Être son propre vent, mais encore ?

Être le vent

Être son propre vent c’est écouter et se saisir de ce qui pulse à l’intérieur de nous.

Se laisser guider par nos curiosités et notre sourire intérieur.

Permettre à la vie de s’exprimer à travers nous.

Avoir confiance qu’elle sait mieux que nous ce qui est bon pour nous.

Être le vent c’est suivre ses envies (EN-VIE).

Être le vent c’est écouter ses chuchotements intérieurs.

Être le vent c’est suivre son courant quitte à être à contre courant.

Être le vent c’est prendre la responsabilité de sa joie.

Être le vent c’est lâcher prise sur ce que l’on ne peut pas contrôler.

Être le vent c’est persévérer même quand l’extérieur le déconseille.

Être le vent c’est parfois accepter d’avoir soufflé au mauvais endroit.

Être le vent c’est oser dessiner sa vie à l’infini.

Être dans le vent

Être dans le vent c’est être guidé par la météo extérieure.

Être dans le vent c’est laisser les éléments extérieurs modeler notre vie.

Être dans le vent c’est choisir à partir de ce que les autres ont prévu pour nous.

Être dans le vent c’est rester dans une zone de connu.

Être dans le vent c’est parfois ne pas vouloir faire de vagues, ne pas vouloir se mouiller et se maintenir dans un eau vaseuse.

Être dans le vent c’est aussi parfois ne pas entendre son propre souffle.

Comment savoir si l’on souffle dans la bonne direction ?

Quand plusieurs directions se proposent à nous, choisir peut être complexe.

Vous pouvez inviter la tête et passer le choix au tamis.

Votre tamis filtre en fonction de ce que vous valorisez dans votre vie.

Se mettre à la place de ses valeurs

Vous pouvez vous demander qu’aurait fait * votre valeur * dans ce cas là ?

Dans mon cas, cela ressemblerait à : qu’aurait fait * la liberté * ou * le courage * dans ce cas là ?

Écouter la première réponse qui vous vient à l’esprit.

Si vous sentez que “la question ne se pose plus”, alors vous avez la réponse qu’il vous faut.

A l’inverse, si la réponse ne vous satisfait pas complètement, reposez la question. Cela vous permettra d’explorer de nouveaux niveaux de réponse et ne pas laisser cette question latente.

Vos valeurs comme guides

Vous pouvez vous demander si cette décision est au service de vos valeurs.

Si une de vos valeurs est l’autonomie, vous pouvez vous demander : Cette décision me rendra-t-elle plus autonome ?

Si la réponse est non, cela vous donne des éléments de réponse.

Si la réponse est oui, les voyants sont au vert.

Quelque soit le risque que vous prenez, vous vous épargnez celui de mener des actions désalignées.

Conclusion

Mais là aussi, être son propre vent, nous demande parfois d’être déloyal vis à vis que ce que l’on a valorisé par le passé.

Pour embrasser de nouvelles valeurs et une nouvelle identité.

Nous sommes en mouvement et en évolution permanente… et c’est parfait comme ça !